Why tel Aviv will remain an expensive city

It seems to us that nothing can stop the soaring real estate prices in Tel-Aviv and its region. The observation is unequivocal: economic crisis of 2008 or health crisis in 2020, real estate prices are constantly on the upward slope, and this has become even steeper since the end of the 1st confinement in May 2020. Panorama price trends over the last quarter.

 

Unheard of in this 2nd quarter of 2021

According to figures from the Central Bureau of Statistics (CBS), the average price of real estate transactions in Tel Aviv stood at more than NIS 3.5 million for the 2nd quarter of 2021, which is 20% more than two years ago. The Israeli real estate market is booming, and it seems there is no price to live in the “Big City”. Tel Aviv, with its international, lively and cultural side, attracts more and more Israelis and is an economic and financial breeding ground that provides work and purchasing power far superior to that of other cities. In this general context of rising prices, statistics show that price differences between Tel Aviv and other major cities.

 

Increases of 14% in one quarter

Tel Aviv remains at the head of the highest price increases with more than 14% increase in a single quarter for 4-room apartments. The increases observed in the 2nd quarter were more than 10% compared to the first quarter of 2021. The average price of an apartment increased by 12% to reach 2.5 million NIS for a 2-room apartment and 3.5 million for NIS for a 3 rooms. The price gap between those in Tel Aviv and those in other cities has widened dramatically. If, two years ago, an apartment sold in Tel Aviv was on average 41% more expensive than an equivalent apartment sold in Ramat Gan at the same time, this gap has now widened to 54%. Compared to Jerusalem, the gap widened from 46% to 67%, and compared to Haifa it increased from 139% to 200%, which means that an apartment in Tel Aviv costs three times as much. an equivalent apartment in Haifa (insert attached graph).

On the new home market, developers seized the opportunity to catch up with their level of sales and prices: the price index for new homes rose by almost 6.5% over the last two months, compared to a 7.7% annual increase in prices on the global market. Another fundamental point to take into account, the construction cost index on which the off-plan purchase price is indexed has increased at an annual rate of 6 to 7%, leading to a significant increase in the cost of new apartments.

 

In the rental market

While real estate prices are soaring, the rental market remains much more stable with an average increase of 2% over the last twelve months, with Tel Aviv once again leading the price charts.

 

A gap between the number of new constructions and demand for apartments

Faced with the frenzy observed on the new home market, the stock of apartments is rapidly decreasing. Also according to the latest figures published by the CBS, more than 25,000 new homes were sold in the first half of 2021. In one year, the stock of new homes for sale fell by 30%, reaching around 36,000 at the end of the month. of June. If this trend continued, what would be the means for the government to increase housing capacity? None, because the gap between demand and supply is phenomenal. Under no circumstances will the government be able to ensure an increase in the number of apartments placed on the market.

 

A clear desire from the Municipality to keep prices on the rise

For more than 20 years at the reins of the “Big City”, Ron Huldai, Mayor of Tel-Aviv, has certainly done an exceptional job of boosting the city and positioning it on the list of international cities. But he also largely contributed to disfiguring the city. Tel-Aviv should not only be a city reserved for the “rich”, because Tel-Aviv is also a city with its citizens, students, artists, and people from different socio-economic backgrounds. Unfortunately, the observation is that Tel Avivians will gradually leave Tel Aviv. The construction of luxury towers and complexes, the lack of planning for small housing in the city center force a whole section of the population to live outside the city, significantly modifying the spirit or the DNA – this term is so fashionable!- of the city. Young couples will no longer be able to live in the city center which will be increasingly reserved for an Israeli elite.

French:

Pourquoi Tel-Aviv restera une ville chère

Il nous semble que rien ne pourra arrêter la flambée des prix de l’immobilier à Tel-Aviv et sa région. Le constat est sans équivoque: crise économique de 2008 ou crise sanitaire en 2020, les prix de l’immobilier sont sans cesse sur la pente ascendante, et celle-ci est devenue encore plus raide depuis la sortie du 1er confinement en mai 2020. Panorama de l’évolution des prix sur ce dernier trimestre. 

 

Du jamais vu sur ce 2ème trimestre 2021 

Selon les chiffres du Bureau central des Statistiques (CBS), le prix moyen des transactions immobilières à Tel Aviv s’est situé à plus de 3,5 millions de NIS pour le 2eme trimestre 2021, soit 20 % de plus qu’il y a deux ans. Le marché immobilier israélien est en plein essor, et il semble qu’il n’y ait pas de prix pour vivre dans la “Grande Ville”. Tel Aviv, de par son côté international, vivant et culturel, attire de plus en plus d’israelien et est un vivier économique et financier qui assure un travail et un pouvoir d’achat largement supérieur à celui des autres villes. Dans ce contexte général de hausse de prix, les statistiques montrent que les écarts de prix entre Tel-Aviv et les autres grandes villes. 

 

Des hausses de 14 % en un trimestre 

Tel Aviv reste à la tête des plus fortes hausses de prix avec plus de 14% de hausse en un seul trimestre pour les appartements de 4 pièces. Les augmentations observées sur le 2ème trimestre ont été supérieures à 10% par rapport au premier trimestre 2021. Le prix moyen d’un appartement a augmenté de 12% pour atteindre 2,5 millions de NIS pour un 2 pièces et 3,5 millions de NIS pour un 3 pièces. L’écart des prix entre ceux de Tel Aviv et ceux des autres villes s’est creusé de façon dramatique. Si, il y a deux ans, un appartement vendu à Tel Aviv était en moyenne 41% plus cher qu’un appartement équivalent vendu à Ramat Gan à la même époque, cet écart s’est maintenant creusé à 54%. Par rapport à Jérusalem, l’écart s’est creusé de 46% à 67%, et par rapport à Haïfa, il est passé de 139% à 200%, ce qui signifie qu’un appartement à Tel Aviv coûte trois fois plus cher qu’un appartement équivalent à Haïfa (insérer le graphe en attachement).

Sur le marché du neuf, les promoteurs ont saisi l’opportunité pour rattraper leur niveau de vente et de prix: l’indice des prix des logements neufs a augmenté de près de 6,5 % au cours des deux derniers mois, comparé à une hausse annuelle de 7,7 % des prix sur le marché global. Autre point fondamental à prendre en compte, l’indice du coût de la construction sur lequel est indexé le prix d’achat sur plan a augmenté à un taux annuel de 6 à 7 %, entraînant une hausse significative du coût des appartements neufs.

 

Sur le marché de la location

Alors que les prix de l’immobilier s’envole, le marché locatif reste beaucoup plus stable avec une augmentation moyenne de 2 % sur les douze derniers mois, avec encore une fois Tel-aviv en tête du palmarès des prix.

 

Un gap entre nombre de constructions neuves et demande d’appartement 

Devant la frénésie constatée sur le marché du neuf, le stock d’appartement diminue rapidement. Toujours selon les derniers chiffres publiés par le CBS, plus de 25000 logements neufs ont été vendus sur le 1er semestre 2021. En un an, le stock de logements neufs à vendre a chuté de 30 %, atteignant environ 36 000 à la fin du mois de juin. Si cette tendance se maintenait, quels seraient alors les moyens du gouvernement pour augmenter la capacité de logement? Aucun, car l’écart entre la demande et l’offre est phénoménal. Le gouvernement ne pourra en aucun cas assurer une augmentation du nombre d’appartements mis sur le marché.

 

Une volonté claire de la Municipalité de maintenir les prix à la hausse

Depuis plus de 20 ans aux rênes de la “Grande Ville”, Ron Huldai , maire de Tel-Aviv, a certes fait un travail exceptionnel pour booster la ville et la positionner au palmarès des villes internationales. Mais il a également largement contribué à défigurer la ville. Tel-Aviv ne doit pas seulement être une ville réservée aux “riches”, car Tel- Aviv est aussi une ville avec ses citoyens, des étudiants, des artistes, une population issue de milieux socio- économiques différents. Malheureusement, le constat est que les Tel Aviviens vont progressivement quitter Tel-Aviv. Les constructions de tours et complexes luxueux, l’absence de planification de petits logements dans le centre-ville forcent tout un pan de la population à vivre à l’extérieur de la ville, modifiant sensiblement l’esprit ou l’ADN – ce terme est si à la mode !- de la ville. Les jeunes couples ne pourront plus vivre dans le centre ville qui sera de plus en plus réservé à une élite israélienne.

Join The Discussion

Compare listings

Compare
Skip to content